Dans l’Haïti d’hier, celle des plus de quarante ans, le vocable farine évoquait le pain, ou mieux encore, ces viennoiseries, et autres douceurs, telles que les promouvait une certaine : « Marie Claire » dont la maîtrise des fourneaux et la célébrité faisaient alors recette.
La farine était ainsi une idée qui fait saliver… Vous dites aujourd’hui : farine, et tout le monde est sur le qui-vive ; le même mot faisant maintenant transpirer…
Rien qu’à l’entendre, l’on s’inquiète, l’on s’épuise à savoir : qui y roulera qui…
[…] Nos esprits sont constamment placés face à de véritables travaux d’Hercule, consistant à dénouer cette nuée de complots qui peuplent nos délires.
La paranoïa